jeudi 15 septembre 2016

Poutine diffuse une alerte mondiale: "L'establishment américain veut assassiner Donald Trump "



Un rapport étonnant Conseil de sécurité (SC) circulant aujourd'hui au Kremlin dit que le président Poutine a personnellement autorisé cette semaine une "alerte internationale" avertissant que le candidat à la présidence Donald Trump pourrait être bientôt tué par le régime Obama-Clinton après la confirmation que ce dernier vient de libérer Michael Sandford, l’homme qui a tenté d’assassiner Trump, ce qui constitue une "violation flagrante" de la loi américaine.


En effet, le 18 Juin, Michael Sanford a tenté d'assassiner Donald Trump à Las Vegas, Nevada. Le Service russe de renseignement extérieur (SVR) a pu établir une connexion entre Michael Sanford à la fois avec l'armée britannique et avec la CIA. [Voir notre rapport: Les assassins qui ont tué la députée britannique Jo Cox et ciblé Donald Trump sont liés aux militaires du Royaume-Uni  et à la CIA]

L’assassin de Donald Trump Michael Sandford (centre) appréhendé par la police américaine


Dans la plainte de cinq pages déposée par les autorités fédérales américaines contre Michael Sanford après sa tentative avortée de tuer Donald Trump, on apprend que Sanford s’est beaucoup entraîné au  tir au pistolet (un Glock 9 mm), la veille de sa tentative. Ensuite, le lendemain, il s’est approché, à Las Vegas, de l’officier de police Ameel Jacob lors d'un rassemblement de campagne. Il lui a dit qu'il voulait obtenir un autographe de Trump, puis a essayé d’attraper son arme pour tuer Trump.


Michael Sanford a dit qu'il visait l'officier de police parce qu'il croyait que son holster était déverrouillé, et qu’il serait plus facile de tirer sur Trump, selon les agents des services secrets américains cités dans la plainte. Sandford a dit qu'il avait prévu de tuer Trump depuis un an, mais a décidé d'agir à cette occasion parce que «il se sentait enfin suffisamment confiant pour essayer» et que «s'il est dans la rue demain, il essaierait à nouveau".

Notons que la tentative de Michael Sanford pour tuer Donald Trump est un crime fédéral majeur (18 U.S. Code § 1113) passible de 20 ans de prison et jusqu’à jusqu'à 5 ans de plus pour menace sur la vie d’une personne sous la protection des services secrets (18 U.S.C. § 879 : US Code - Section 879).
Ainsi, en 2002, les États-Unis ont envoyé un homme de 50 ans nommé Richard Humphreys en prison pour 3 ans pour avoir simplement dit : "Ne soyez pas surpris si vous voyez George Bush à la télévision et quelqu'un court derrière, jette quelque chose sur lui et allume une allumette" alors qu'il était dans un pub à boire avec ses copains. Mais le régime Obama-Clinton ne veut pas appliquer cette loi standard à Donald Trump .


Avec Michael Sanford qui, normalement, devrait passer jusqu'à 30 ans de prison pour sa tentative d'assassinat sur Donald Trump, le président Poutine a été «visiblement secoué» après avoir entendu cette semaine que cet assassin a été autorisé par le régime Obama-Clinton à plaider coupable aux accusations mineures d’«être un étranger en situation irrégulière en possession d'une arme à feu et de perturber une fonction officielle » pour laquelle sa peine sera inférieure à 2 ans et que, dans le cadre du Programme international de transfert des prisonniers du ministère de la Justice des États-Unis (IPTP), on va permettre à cet assassin de passer son temps dans un camp de jeunesse britannique.

Après que le président Poutine a entendu comment le régime Obama-Clinton fait peu de cas de la vie de Donald Trump, il a immédiatement tenu une réunion de crise avec Dmitry Kisiliov et lui a ordonné de «répondre avec force, et de manière internationale» à cette «grave menace».

Dmitry Kisiliov [1], est l'un des journalistes les plus respectés qui, en 2013, a été nommé par le président Poutine à la tête de la nouvelle agence gouvernementale russe d’informations Rossiya Segodnya (Sputnik News). Suite à cette réunion de crise, cette agence a rapporté au monde que le régime Obama-Clinton a maintenant l'intention de tuer Donald Trump pour l'empêcher de prendre le pouvoir et a mis en garde : "les services spéciaux américains n'ont pas besoin d'un tel président. Ces services favorisent la haine envers la Russie pour justifier leur existence. Les oligarques américains, également, n’ont pas besoin d'un tel président. Pour ces oligarques, l'ordre mondial existant leur assure un business solide et stable. Pour eux, un Trump qui est prêt de régler les problèmes avec la Russie signifie que les finances iront dans une direction différente. L'establishment américain est impitoyable. "


Ce rapport conclut en notant que le peuple américain doit être pleinement informé de ce terrible avertissement émis par le gouvernement russe au sujet de la vie de Donald Trump. Mais les médias mainstream n’arrêtent pas de mentir au peuple américain. Ainsi, après l'effondrement choquant de Hillary Clinton la semaine dernière dans une rue de New York, ces sycophantes de la presse Obama-Clinton ont dit qu'elle avait été prise dans l’appartement de sa fille alors qu’en réalité, elle a été admise the Metro Home Services senior citizens medical facility.

Source : Putin Issues Global Alert: “The American Establishment Is Merciless, Donald Trump Could Soon Die”


[1] Apparaissant sur une TV publique, le présentateur de télévision et journaliste Dmitry Kisiliov a dit à des millions de personnes en direct que l'élite "peut tuer" Trump en raison du danger pour elle de ses prises de position qui ne sont pas anti-russes.
Russian TV host says the New World Order will attempt to assassinate Donald Trump
Kisiliov a commencé (vidéo) son monologue en discutant les derniers sondages qui montrent que Trump dépasse Clinton, ainsi que la promesse de Trump qu'il "formera de très, très bonnes relations avec la Russie" s'il devient président.
« Cette combinaison de facteurs : mener dans la course, sa capacité à dire les vérités telles qu’elles sont, et son intention de mettre fin aux récentes tensions extrêmes russo-américaines - tout cela le met dans une situation très risquée», déclare Kisiliov.
"Maintenant, ils peuvent juste le tuer," ajoute-t-il de façon alarmante.